Personnage !

Prénom : Haru

Code barre : 01.02-W105

Âge : 19 ans

Numéro sur 10 : 05

Sexe : masculin

Attirance Sexuelle : bisexuel

Description physique : Un corps plutôt jeune encore, pas plus grand, pas plus petit que la moyenne des humains normaux de 19 ans, il n'est ni frêle, ni très musclé. S'il était humain, il serait surement un model pour ce qui est de sa taille et son poids. 179 centimètre pour 69 kg. Bon je l'avoue, il est un peu frêle. Mais par contre, rien ne change, pour les inu style 05, trop de toutou dans le sang. De belles oreilles, une petite queue bien touffue, et de belles canines aiguisées. S'il était un chien, il serait surement une sorte de chien de chasse, ou de garde. Ses cheveux, épais et tombant bien par contre, sont d'un noir foncé et pur. Cette couleur contrastant bien avec sa peau, tellement pâle qu'elle donne de lui l'image d'un mort. Des yeux brillant, bleu et tout particulièrement "humain" pour un inu, il regarde toujours les autres de haut... M'enfin, quand il les regarde. Même les scientifiques devaient se prendre ce regard presque sadique. Toujours un petit air ailleurs, même vu la situation, il ne semble jamais concentré... Ce n'est qu'une illusion, mais bon. Il a un tic, une tendance à toujours se mordre les lèvres, nerveusement. Et pourtant, son corps, même en crise, ne démontre aucuns signes de nervosité. Sous ses yeux, faisant de l'effet avec la blancheur de sa peau, il a d'énormes cernes, rappelant ses nuits passées dans la "salle noire". Lorsqu'il sourit, et quand il le fait, c'est toujours un sourire duquel on doit se méfier, un sourire amusé, de toutes ses dents, digne d'un psychopathe.
C'est ce qu'il est, non ?

Description Mentale : S'il doit se battre, il se battra. Tout simplement. Ils veulent du sang ? Ils veulent les meilleurs ? Eh bien il sera dedans. Voilà sa seule pensée. Il se dit tout simplement "Je ne mourrai pas" et il avance. Après tout ce qu'il a vécu, en tant que cinq, toutes ces expériences, tous ces coups de bâton à cause de ce tempérament qu'il a, celui que les scientifiques eux-mêmes ont créés, après tout ça, pourquoi irait-il se cacher dans un trou ? La mort ne lui fait pas peur. La douleur, par contre, ce n'est pas pareil, car bien qu'il ait été maltraité, et nombres d'expériences ont été menées sur lui, il n'a aucune résistance à la douleur. C'est une question de mental, même si le coup ne l'atteint pas, il aura mal. Mal de l'idée qu'on veule le frapper. Par contre, pour sa part, les autres, il peut les frapper. Si ce n'est pas un esprit de psychopathe, ça, je me demande ce que c'est. L'odeur, le gout, cette saveur si douce, cette sensation... Métallique. Le sang. Comme tous les autres du centre, il a été obligé à un régime merdique de végétaux. Lui qui raffole de la viande, lui qui raffole de la viande saignante, la main du scientifique le nourrissant était plus appétissante que son repas lui même.
Tuer ne lui fait pas peur. S'il doit se nourrir de la chair de ses semblables, ceux qui l'accompagnaient avant ça dans cette souffrance et cette haine contre les scientifiques, ils ne sont maintenant plus que des morceaux de viande secondaires, ne servant qu'à lui poser problème. C'est connu, les cinq n'ont pas de conscience, et qui dit pas de conscience, dit pas de remords, pas de pitié. Juste une force de vivre tellement forte, qu'il en perd même un peu la raison. À un tel point qu’en bref, il est dangereux au point qu’il a oublié qui sont ses amis et qui sont ses ennemis. Tout le monde qui se met entre lui et la vie sont bon à crever. Tout simplement.
Rêves : Survivre ? Disons qu’il n’en a pas vraiment. Il se considère exactement de la même manière que les humains le considèrent : Un simple spécimen. Une création presqu’inutile, mais ici pour simplement rendre le jeu plus amusant. Il s’est fait à l’idée de devoir mourir. Il sait qu’il ne servira jamais à autre chose, et qu’il n’est qu’un simple test, un objet inutile… et ça lui plait, il veut s’amuser, tant qu’il en aura la chance. Il espère simplement… Que cette activité, comme il le dit lui-même, sera la chose la plus amusante de sa triste vie.

Histoire : L’histoire de tout le monde ici se ressemble. La mienne n’est pas plus triste, ni plus heureuse que celle des autres. J’ai rencontré des gens plus sympa que d’autres, mais en fait, moi-même, j’ai toujours été si associable que jamais personne n’a voulu se rapprocher de moi. Certains scientifiques se liaient d’amitié avec des spécimens, mais franchement, je les trouvais pathétiques. Et puis ces sentimentaux se faisaient bien vite supprimer du personnel, d’une manière ou d’une autre. Les humains sont tout simplement cruels, et je le sais. Je me souviens vaguement d’une infirmière. Elle m’apportait mes repas. Pff, toujours la même chose. Étant un cinq, je n’avais droit qu’à des repas végétariens, car apparemment, la viande pouvait me donner de l’agressivité. Ce qui m’agressais, c’étais bien de voir les autres bouffer du poisson, du poulet, ou simplement un bon steak bien saignant, j’en bavais, mais je n’avais qu’une salade au repas… Pff. Bref, cette infirmière, je me souviens de ses manières, si douce, elle s’occupait de moi plus particulièrement. Je crois qu’elle était fascinée, fascinée de comment je pouvais me foutre de ce qui se passait devant mes yeux chaque jours, ces spécimens qui se faisaient emmener ça et là pour peut-être ne jamais revenir, et quand j’entendais le bruit de ma cage s’ouvrir, de ne jamais savoir si j’allais simplement suivre une batterie de test, ou si j’allais crever. Non, elle devait être fascinée, à un tel point qu’elle semblait vouloir devenir mon amie. Elle voulait que je m’intéresse à elle comme elle s’intéressait à moi. Elle m’avait même donné un nom. Haru. Elle disait que j’étais surement plus intelligent que les autres et qu’ils auraient du baser les model 10 sur moi. Printemps, la renaissance, comme elle disait. C’était une fille pleine d’espoir. Mais un jour, devant mes yeux, les autres l’ont attrapés et lui ont planté une seringue sous la gorge, en soupirant simplement : « Si t’aime tant ces animaux stupides, crève comme eux ». Et c’est ainsi que mes yeux se fermèrent, ainsi que moi, sur le monde qui m’entourait. Et c’est encore ainsi aujourd’hui. Je suis ailleurs. Où est-ce ? C’est ailleurs. Un monde vide, dans lequel je suis roi. Dans lequel je suis le maître. Le seul maître.

Vous !

Pseudo : Kiki

Âge : u.u

Présence sur 10 : bha eum 9.9/10 s’mon forum quand même ! xD

J'AIME TROP TON HISTOIRE (L)

Merci ^^
Et pourtant, je l'ai écrit tellement vite u.u
La seule chose que j'aime vraiment, c'est : "Un monde vide, dans lequel je suis roi. Dans lequel je suis le maître. Le seul maître." xD
Trop class u.u

J'aime beaucoup toute ta présentation [sans vouloir faire la fayote U_U"].